emploi salarié agricole

affections de longue duree en 2015
Les intentions d’embauche au deuxième trimestre 2021 – Tableau de bord

Au 2ème trimestre 2021, le nombre d’intentions d’embauche du régime agricole est en recul comparativement au trimestre précédent (- 3,4 % en glissement trimestriel corrigé des variations saisonnières).

Les intentions d’embauche de salariés bénéficiaires de l’exonération travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi (TODE) régressent encore plus (- 6,0 %), celles en contrat à durée déterminée (CDD) hors TODE diminuent légèrement (- 0,9 %) tandis que celles en contrat à durée indéterminée (CDI) présentent une bonne dynamique (+ 5,3 %).

 

Principal secteur d’activité du régime, la production agricole voit lui aussi son volume d’intentions d’embauche reculer  (- 3,9 %) par rapport au trimestre précédent.

synthese
Bilan 2020 : l’emploi des salariés agricoles affecté par la pandémie – Synthèse

L’année 2020 a été marquée par la pandémie de covid19. Le régime agricole, comme les autres  activités économiques, a été impacté par cette dégradation économique.

Les salariés du régime agricole ont effectué 1 321 millions d’heures en 2020, un volume en baisse de 1,9 % par rapport à 2019. Tous les secteurs d’activité présentent une baisse d’emploi. Elle est, néanmoins, plus marquée dans le secteur des autres activités (paysagistes, artisans, filière cheval etc.) avec – 2,9 %.

La masse salariale a diminué de 0,2 %. Le salaire horaire moyen a progressé de 1,7 %, une hausse supérieure à celle du Smic (+ 1,2 %).

vignette infostat
L’emploi des salariés agricoles au quatrième trimestre 2020 – Infostat

L’emploi agricole

au 4ème trimestre 2020

 

Au 4ème trimestre 2020, le nombre d’heures de travail est en baisse (- 0,3 %) après une hausse de 2,9 % au trimestre précédent. Il diminue de 1,5 % sur un an en évolution corrigée des variations saisonnières (CVS) :

  • La fin de l’année a été marquée par la mise en place des mesures sanitaires, plusieurs filières dans lesquelles le contact avec la clientèle est direct (les centres équestres, les jardiniers, etc.) ont donc été impactées par le confinement,
  • Les vendages et les cueillettes de fruits ont été plus précoces qu’en 2019, ce qui a conduit à un transfert de volume des embauches en CDD du 4ème trimestre au 3ème

Le nombre d’heures de travail évolue différemment selon la nature du contrat : + 1,1 % pour les contrats à durée indéterminée (CDI) et – 2,8 % pour les contrats à durée déterminée (CDD). En fin de trimestre, le nombre de CDI présents, qui est un indicateur de la permanence de l’emploi, est en hausse de 1,3 % par rapport au troisième trimestre.

La masse salariale baisse de 0,1 %, après une hausse de 3,3 % au trimestre précédent. L’évolution annuelle est de + 0,3 %, pour un montant total trimestriel de plus de 5 milliards d’euros. Le salaire horaire progresse de 0,2 % par rapport au trimestre précédent et de 1,8 % sur un an.

Les quatre secteurs d’activité présentent des évolutions contrastées sur les principaux indicateurs de l’emploi (heures de travail et salaire). La production agricole enregistre une baisse importante de l’emploi salarié, les activités de transformation sont relativement stables, tandis que l’emploi salarié progresse dans le tertiaire et les autres activités agricoles.

 

Production agricole : forte baisse de l’emploi salarié

Dans la production agricole, l’emploi salarié, mesuré par le nombre d’heures de travail, baisse de 2,2 %, après + 0,7 % au trimestre précédent. En complément des effets de la crise sanitaire, le secteur a beaucoup souffert des mauvaises conditions météorologiques survenues en 2020 (pluies importantes, puis sécheresse). L’emploi de fin d’année en arboriculture et en viticulture a été très impacté par la baisse de la production.

Les salariés en CDD, hors travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi (TODE), effectuent un volume de travail de 33 millions d’heures, en baisse de 6,4 %. Les salariés en CDI exécutent un volume de travail de 73 millions d’heures, en hausse de 0,9 %. Le nombre d’heures effectuées par les TODE est en baisse de 4,1 % et s’élève à 41 millions d’heures de travail (après – 5 % au trimestre précédent).

A fin décembre, le nombre de contrats en cours, indicateur de l’emploi permanent, s’élève à plus de 400 000, en hausse de 7,0 % par rapport au trimestre précédent. Cette hausse est notamment portée par les salariés en CDD (+ 11,7 %) alors qu’elle n’est que de + 2 % pour les salariés en CDI.

Le salaire horaire moyen reste stable ce trimestre et s’élève à 13,45 €, mais avec des évolutions contrastées selon les natures de contrat (CDD + 0,7 % à 11,76 € ; CDI – 1,1 % à 14,94 €). La masse salariale du secteur de la production, d’un montant de 1,9 milliard d’euros, baisse de 2,2 % en glissement trimestriel[1].

 

Transformation agricole : stabilisation de l’emploi

Les salariés du secteur de la transformation réalisent 58,1 millions d’heures rémunérées ; un nombre stable par rapport au trimestre précédent (- 0,1 %). Les évolutions des volumes d’heures sont quasiment similaires pour les différentes natures de contrat : – 0,1 % pour les CDI et 0 % pour les CDD.

Le secteur affiche une hausse du nombre d’emplois présents en fin de trimestre : 130 000 contrats supplémentaires, soit + 0,3 %. Les contrats en CDI fléchissent de – 0,1 % et ceux en CDD augmentent de + 1,4 %.

La masse salariale, d’un montant de 1,1 milliard d’euros, augmente de 0,2 %. Le salaire horaire moyen progresse de 0,3 %. Les salaires horaires moyens par nature de contrat de travail présentent des évolutions contrastées : CDI – 0,6 % (19,98 €) et CDD + 4,3 % (15,08 €). Globalement, il augmente de 0,3 %, à 18,89 €.

 

Tertiaire agricole : l’emploi salarié continue de progresser

Après un rebond au précédent trimestre (+ 2 %), les salariés effectuent ce trimestre un volume d’heures rémunérées en hausse de 2,2 %. Les évolutions sont positives pour les deux natures de contrat : CDI avec + 2,0 % et CDD + 3,2 %.

Cette croissance est aussi constatée pour les CDI présents en fin de trimestre qui augmentent de 1,6 % alors que les contrats en CDD reculent de 1,4 %. Au total, la hausse atteint 1,0 % (plus de 200 000 contrats).

La masse salariale est orientée à la hausse (+ 1,8 %) ce trimestre, avec 1,8 milliard d’euros.

Le salaire horaire moyen des salariés du secteur baisse de 0,4 % et s’élève à 22,2 €. Pour les salariés en CDI, il baisse de 1,0 % (22,86 €) et pour ceux qui sont en CDD, il augmente de 4,2 % (17,08 €).

Autres activités de service : hausse du nombre d’heures de travail

Le nombre d’heures de travail réalisées dans les autres activités de service s’élève à 45,8 millions, en hausse de 1,0 % par rapport au trimestre précédent (CDI : + 1,2 % et CDD : + 0,7 %).

Dans ce secteur figure la filière cheval (centres d’entrainement et centres équestres) dont l’activité a été complètement arrêtée au deuxième trimestre, puis à nouveau au quatrième trimestre pour les centres équestres (ce sont près de 320 000 heures de moins par rapport au troisième trimestre, soit – 5,4 %). Les jardiniers, ont aussi vu leur activité ralentir fortement pendant le premier confinement (- 8,5 %). Pour les entreprises paysagistes, qui sont majoritaires dans ce secteur, leur activité n’a pas été impactée. Leur progression a permis de compenser la baisse dans la filière cheval.

On dénombre plus de 110 000 contrats présents en fin de trimestre, en hausse de 0,8 % (CDI + 0,7 % et CDD + 0,9 %).

La masse salariale (0,6 milliard d’euros) augmente légèrement (+ 0,5 % après + 15,0 % au troisième trimestre). Le salaire horaire moyen des salariés en CDI baisse de 2,0 % et s’établit à 15,03 €, et pour ceux en CDD, il augmente de + 3,4 % (11,29 €).

 ÉTHODOLOGIE

Le terme d’évolution, correspond à l’évolution CVS (corrigée des variations saisonnières) du trimestre T de l’année N par rapport au trimestre précédent.

DÉFINITIONS

CDD :

Contrats à Durée Déterminée.

CDI :

Contrats à Durée Indéterminée.

Contrats présents en fin de trimestre (mesure de la permanence de l’emploi) :

Nombre de contrats encore en cours le dernier jour du trimestre. Les contrats ayant cessé avant la fin du trimestre, ne sont pas comptabilisés. Si un individu a plusieurs contrats actifs en fin de trimestre, ceux-ci sont tous dénombrés.

CVS :

Série corrigée des variations saisonnières : construite à partir de la série brute, elle neutralise les évolutions habituelles de l’année tout en faisant émerger les tendances de fond et les évolutions exceptionnelles.

Masse salariale :

Montants de rémunération brute sur lesquels sont assises les cotisations sociales. La masse salariale est composée de la rémunération nette et des cotisations légales et conventionnelles de la part ouvrière.

Nombre d’heures de travail rémunérées :

Nombre d’heures ayant donné lieu au paiement d’un salaire. Pour les emplois en CDI, ce volume d’heures inclut les congés payés. Pour les emplois en CDD, le nombre d’heures rémunérées correspond au nombre d’heures travaillées. Dans les deux cas, les heures supplémentaires sont incluses dans le nombre total d’heures rémunérées.

Production agricole :

Activités de production, d’élevage et d’exploitation du bois. Activités exercées par les entreprises de travaux agricoles, les gardes-chasse, les gardes-pêche et les organismes de remplacement et de travail temporaire.

Transformation :

Activités de transformation de produits agricoles effectuées par des entreprises à statut coopératif, ainsi que les scieries fixes.

Tertiaire :

Activités de services liées au monde agricole. Le régime de protection sociale des salariés des professions agricoles est applicable aux salariés mentionnés à l’article L722.20 du code rural.

Autres activités de service :

Autre nature d’activité axée sur le service à la personne (paysagisme, services à la personne, jardinage, enseignement, entraînement et dressage des chevaux…).

TODE :

Contrats de travail avec allégements de cotisations patronales au titre des mesures en faveur de l’emploi de travailleurs occasionnels (TO) et de demandeurs d’emplois (DE).

[1] – Le glissement trimestriel est obtenu en faisant le rapport entre la valeur à l’instant T et la valeur au trimestre T-1.

Service de Presse
Géraldine VIEUILLE: 01 41 63 72 41/  vieuille.geraldine[at]ccmsa.msa.fr
Céline SENE: 01 41 63 72 36/  sene.celine[at]ccmsa.msa.fr

 

 

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Les intentions d’embauche au quatrième trimestre 2020 – Tableau de bord

Au 4ème trimestre 2020, le nombre d’intentions d’embauche du régime agricole est en légère progression comparativement au trimestre précédent (+ 0,7 % en glissement trimestriel corrigé des variations saisonnières).

Les intentions d’embauche de salariés bénéficiaires de l’exonération TODE (travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi) augmentent (+ 0,9 %), celles en contrat à durée déterminée (CDD) hors TODE diminuent (- 0,3 %) et celles en contrat à durée indéterminée (CDI) sont en bonne progression (+ 3,8 %).

Principal secteur d’activité du régime, la production agricole voit son volume d’intentions d’embauche augmenter modérément (+ 0,4 %) par rapport au trimestre précédent.

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L’emploi salarié agricole en 2017 – Synthèse

En 2017, les entreprises du régime agricole ont réalisé 1 308 millions d’heures de travail salarié. Le volume d’heures rémunérées progresse légèrement (+ 0,8 %) par rapport à l’année 2016. Trois secteurs d’activité sont en hausse, seul le secteur du tertiaire se replie (- 1,4 %). La masse salariale, après avoir franchi le seuil des 20 milliards d’euros en 2016, poursuit sa croissance (+ 2,1 %). Le salaire horaire connait une hausse de 1,3 %, plus rapide que celle du Smic (+ 0,9 %).

La permanence de l’emploi, mesurée par le nombre de contrats au 31 décembre, se dégrade (- 2,9 %). Cet indicateur ne reflète pas parfaitement le volume d’emplois salariés agricoles. Ce dernier est caractérisé par un fort volume d’emplois saisonniers, et plus généralement de contrats à durée déterminée (CDD), s’achevant le plus souvent bien avant le 31 décembre. Ces emplois en CDD présentent majoritairement des salaires proches du Smic et sont conclus pour une courte durée.

Séries labellisées – Emploi salarié au régime agricole

 

Information importante (septembre 2023)

 

En raison de la modification de la collecte des données et des traitements statistiques associés, la série labellisée « Emploi salarié » s’arrête au millésime de la fin 2022.

Une nouvelle série sera diffusée à partir de l’année 2024 dans le contexte du renouvellement de la labellisation prévue au début de l’année 2024.

_______________________

En 2013, l’Autorité de la statistique publique avait labellisé pour une durée de cinq ans les statistiques produites par la MSA.

Dans son avis du 17 janvier 2019, l’Autorité de la statistique publique a notifié, à l’unanimité de ses membres, le renouvellement de la labellisation, pour 5 ans, des séries de données produites par la MSA et déjà labellisées en 2013, à savoir :
– les statistiques de l’emploi des salariés et des non-salariés agricoles,
– les statistiques des bénéficiaires de prestations familiales,
– les statistiques des bénéficiaires de pensions salariées et non-salariées agricoles,
– les statistiques d’accidents du travail et maladies professionnelles des salariés et non-salariés agricoles.

L’Autorité a aussi notifié, à l’unanimité de ses membres, la labellisation des séries sur les dépenses d’assurance maladie du régime agricole en date de remboursement et en date de soins.

La labellisation vise à garantir aux utilisateurs de ces statistiques qu’elles sont produites et diffusées dans le respect du code de bonnes pratiques de la statistique européenne au même titre que les statistiques produites par le service statistique public.

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Les intentions d’embauche au quatrième trimestre 2017 – Tableau de bord

Hausse des intentions d’embauche au quatrième trimestre 2017

Au 4ème trimestre 2017, le nombre d’intentions d’embauche du régime agricole augmente comparativement au trimestre précédent (+ 0,6 % en glissement trimestriel corrigé des variations saisonnières). Les intentions d’embauche de travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi (TODE) sont stables, celles en contrat à durée déterminée (CDD) hors TODE évoluent favorablement (+ 0,9 %) et celles en contrat à durée indéterminée (CDI) augmentent plus nettement encore (+ 5,3 %).

Principal secteur d’activité du régime, la production agricole voit ses intentions d’embauche progresser (+ 0,3 %) par rapport au trimestre précédent.

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L’emploi salarié agricole en 2016 – Synthèse

Bilan 2016 : l’emploi des salariés agricoles en évolutions contrastées

En 2016, les entreprises du régime agricole ont réalisé 1 292 millions d’heures de travail salarié. Le volume d’heures rémunérées progresse légèrement (+ 0,4%) par rapport à l’année 2015. Tous les secteurs agricoles sont en hausse ou en stabilisation, excepté le secteur de la transformation qui se replie (- 0,5%). La masse salariale, qui franchit le seuil des 20 milliards d’euros, évolue très favorablement (+ 2,1%). Le salaire horaire est bien orienté (+ 1,7%) avec une croissance annuelle bien plus rapide que celle du Smic (+ 0,6 %).

La permanence de l’emploi, exprimée en nombre de contrats au 31 décembre, se dégrade (- 1,3%). Le nombre de contrats en cours au 31 décembre ne reflète pas parfaitement le volume d’emplois salariés agricoles. Ce dernier est caractérisé par un fort volume d’emplois saisonniers, et plus généralement de contrats à durée déterminée (CDD), s’achevant le plus souvent bien avant le 31 décembre. Ces emplois en CDD présentent majoritairement des salaires proches du Smic et sont conclus pour une courte durée.

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Les intentions d’embauche au deuxième trimestre 2017 – Tableau de bord

Hausse des intentions d’embauche au deuxième trimestre 2017

Au 2ème trimestre 2017, le nombre d’intentions d’embauche du régime agricole augmente comparativement au trimestre précédent (+ 2,4 % en glissement trimestriel CVS). Les intentions d’embauche de travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi (TODE) et celles en contrat à durée déterminée (CDD) hors TODE évoluent favorablement (respectivement + 2,1 % et + 2,7 %). Celles en contrat à durée indéterminée (CDI) augmentent encore plus nettement (+ 4,5 %). Principal secteur d’activité du régime, la production agricole voit ses intentions d’embauche progresser (+ 2,0 %).

Augmentation globale des intentions d’embauche

Au 2ème trimestre 2017, le nombre total d’intentions d’embauche s’établit à 408 751 en données brutes, en augmentation par rapport au trimestre précédent (+ 2,4 % en glissement trimestriel CVS).

Poursuite de la hausse pour les saisonniers

Déjà à la hausse le trimestre précédent (+ 2,8 %), les intentions d’embauche de travailleurs occasionnels et demandeurs d’emploi (TODE dans le secteur de la production) poursuivent leur progression ce trimestre (+ 2,1 %). Avec 240 130 unités en données brutes, elles représentent 58,7 % des intentions d’embauche. Ce type d’emploi est fortement dépendant de la météorologie, qui conditionne les périodes de récoltes. L’année 2017 est notamment caractérisée par une avancée de tous les travaux saisonniers de l’année, suite à des floraisons très précoces liées au printemps chaud. Une partie des embauches habituellement constatée au mois de juillet a ainsi été effectuée au mois de juin en 2017.

 

 

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L’emploi salarié au troisième trimestre 2016 – Tableau de bord

Vue d’ensemble du régime agricole : léger repli de l’emploi (évolutions CVS)

Au 3e trimestre  2016, les salariés agricoles effectuent un nombre d’heures rémunérées en baisse de 0,2% en évolution corrigée des variations saisonnières (CVS).

Le volume de l’emploi en CDD (TODE compris) se stabilise par rapport au trimestre précédent, tandis qu’en CDI, il recule de 0,4 %.

Les salariés totalisent un nombre de contrats en cours en fin de trimestre (indicateur de la permanence de l’emploi) en repli de  0,7 %.

Deux secteurs sont relativement bien orientés en termes de volume horaire : la transformation et les autres activités de services.

A l’inverse, la production  – secteur agricole le plus important – et le tertiaire présentent des évolutions négatives.

La masse salariale (5,0 milliards €) se contracte légèrement, avec une évolution de – 0,4%.

Le salaire horaire moyen (14,6 € brut ; 15,5 € CVS) est en léger recul de 0,1 %. Le Smic s’éleve à 9,67 €, avec + 0,6 % d’évolution annuelle au 1er janvier.